Kobayashi Faith
InformationsMessages : 36 Date d'inscription : 09/01/2016
Agenda RPG Agenda RPG Couleur RPG: #ff3e3e RP terminés: 0 RP en cours: 3 rp
| Sujet: ▬ So Lazy - Kobayashi Faith 09.01.16 13:20 | |
| Kobayashi FaithUn jour, peut-être, je ferai une dépression, et cette idée m'angoisse; et moi d'être anxieux, ça me déprime. |
- Nom : Kobayashi
- Prénom : Faith
- Surnom : la loque
- Age : 17 ans
- Date de naissance : 1 Décembre
- Nationalité: Japonaise
- Taille : 1,78 m
- Poids : 57 Kilos
- Orientation sexuelle : très bonne question
- Statut social : Paumé de service d'un père au métier posé
- Poste au basket : Ailier
- Situation familiale : Une petite soeur enfin demie et un frère de sang qui mérite juste d'être en boite sous terre comme la mère, et un père totalement absent
- Etablissement : Kaijou
- Double Compte : [i]NON
- Avatar : Kozume Kenma + Haikyuuu!
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© Furudate Haruichi & moi même pour ce talent unique "sort" |
CARACTERE Tu n’es qu’une exuvie dans ce monde plein de vie. C’est comme ça qu’on pourrait te résumer mon très chers Faith. Tu es une coquille vide qui ne montre pas grand-chose sur la surface. Tu ne cherches jamais à te faire comprendre, car tu ne vois pas l’intérêt. Tu es un être brisé qui ne cherche pas à recoller les morceaux, tu ne cherche même pas à te construire un autre toi, tu es mort peut être depuis la naissance, mais personne ne te l’a dit.
Pourtant, dans cette vie, il y a bien certaine chose que tu montres. Tu détestes le bruit, oui c’est insupportable le trop de bruit, les rues blindé tu détestes cela plus que tout. Tu n’aimes pas non plus le matin, tu es un vrai zombie qui oublie presque tout de ce qu’il faut faire pour être prêt, combien de fois tu es sortie en pyjama. Tu n’as pas de pudeur, un corps reste un corps, on peut dire que tu t’en fiche de voir des nudiste, après tout, tout le monde est comme ça sous la douche. Tu n’aimes pas te compliquer la vie aussi, les plats tout fait, la première chose qui te passe sous la main te serviras de vêtement, bref tu ne chercher pas midi à quatorze heure. Bon parfois tu réfléchis, mais tu es lents, tellement lents. Tu préfères agir sans réfléchir, le corps réagit bien selon toi, surtout en match ; tu réagis vite sans pensée. Tu aimes occuper ton temps comme tu le peux, après tout la mort ne veut pas de toi encore, donc faut bien s’occuper. Faith s’entraine souvent pour développer son agilité ou sa vitesse, ne voulant pas être un boulet, même s’il s’en fiche de perdre ou de gagner en vrai. Il veut surtout ne pas avoir de problème avec son équipe, puis autant donner tout ce qu’on à non ?
Bien que sur le terrain on se demande bien ce qu’il fait là. Il n’affiche pas de tête heureuse ou de colère violente quand le match est perdu, ni de mine triste. Il possède un self control incroyable. Poker face ? On peut dire cela, il est tout le temps à montrer sa mine neutre. Lui-même ne sait pas pourquoi il est comme ça. Peut être car il n’aime rien ? Non, il ne sait pas vraiment s’il aime ce qu’il fait. Il occupe son temps comme il dit, donc pas là peine d’aimer ce qu’on fait. C’est juste du temps occupé pour attendre la fin. Il est assez feignant aussi, c’est sûr qu’au basket il bouge, mais pour le reste c’est un miracle de le voir bouger son derrière, comme pour le ménage. Faith est une personne ennuyante en vrai, il n’a pas beaucoup de conversation et n’a rien d’intéressant à dire. Il passe son temps dans un groupe à jouer à la console et n’écoute même pas ce que vous dites, il est insupportable en vrai.
Le faux blond ne le montre pas, mais il est une tête qui ne veut pas se presser. Il ne veut pas faire l’effort, il ne veut pas être intelligent, être un idiot ou être rien c’est tellement plus facile pour fuir ses problèmes non ? Enfin, c’est ce qu’il se dit. Il est vrai qu’il doit bien se mentir souvent. Il ne va pas bien, il n’est qu’un être qui n’a pas eu cette essence qui permet de vivre. De l’amour, essence de vie qui permet de pouvoir aimer la vie, il n’en a jamais eue vraiment. Faith c’est une feuille qui se tasse avec le vent, qui ne cherche plus rien à atteindre, il est juste une coquille vide. Peut être qu’un jour cette coquille retrouveras cette vie et cette amour qu’il n’a jamais eu ? Bien sûr, il tente de remonter la pente. Après tout, il peut retrouver espoir dans la vie ! Tout cela n’est qu’un mensonge.
HISTOIRE Lève les oreilles et la queue et secoue la bien devant ton maitre avec l’espoir d’avoir une tapote sur la tête. Attend gentiment son ordre et obéit bien sagement et si possible avec le sourire. Oui toujours avec le sourire, tu dois être gentil et polie et surtout PARFAIT.
Les mariages arrangés n’arrangent jamais la vie comme on dit, surtout celle des enfants. Les parents des parents ne cherche jamais midi à quatorze heure ils imposent toujours tout. Hélas, cela ne seras pas eux qui vont trinquer, mais les enfants de leurs enfants. Faith, un prénom pas du tout du pays et pourtant un nom de famille tout aussi japonais que le mochi. Né d’une union imposé, le bébé n’a même pas le droit d’avoir son père adoptif proche de lui le premier jour de sa naissance. Le prénom donné d’un coup de téléphone de la mère alors que le géniteur était dans un autre pays. Bien que ce ne soit qu’un nouveau né, donc peu importe qu’il soit là où non, il ne s’en souviendra pas, donc ce n’est que du détail pour lui.
Les cheveux noirs de la mère, celle-ci en était très fière de l’exhibé devant ses amis, devant sa famille. Elle a réussi sa vie se vante cette femme. Après tout, un enfant en bonne santé, une grande maison, un époux posé au niveau travail, la belle vie. Bien que pourtant, ce n’est pas vraiment une famille derrière les sourires. Un père qui passe souvent en coup de vent, une mère qui n’est pas une mère ; un enfant qui chercher de l’amour. Vous croyez que c’est vraiment la définition d’une famille comme se vante cette femme ? La bonne blague.
« Je t’ai fait un dessin ! » dit l’enfant en tendant son chef d’œuvre. -Qu’est-ce que c’est ? -Toi et moi ! -Voyons chérie, tu crois qu’un dessin va te permettre de réussir dans la vie ? Non non. Tu as révisé le piano ? -J’aime pas le piano. -Qu’ouïs-je ? -C’est ennuyant ! -Mon petit, le piano est un instrument que les plus noble et personne réputé joue. Maman veut que tu sois heureux et que tu sois bien vue, pour réussir dans la vie. Donc faire des dessins n’apporte rien. »
Dit cette génitrice en déchirant ce dessin fait avec beaucoup d’amour et jeter au feu. L’amour est proscrit, pas le temps d’aimer, le travail pour que Faith soit parfait est trop long pour ajouté de l’amour. Faith regarda juste son dessin partir en fumé et retourne sans broncher étudie, car maman l’a dit, et maman t’aime voyons. C’est fou comme un enfant en quête d’amour sera prêt à tout. Alors il étudie, étudie pour être le meilleur, être le plus fort de tout les enfants. Pourtant, quand il joue devant sa mère ou montre ses notes, le jeune homme est toujours comparé à meilleur que lui, tout le temps sa mère regarde une autre personne qui est beaucoup mieux. Cela lui faisait si mal, mais cela veut dire qu’il ne faisait pas assez sûrement.
Puis peut être qu’il y a eu la goutte de trop. C’était un jour spécial aujourd’hui, non ? Oui, tu l’avais attendu depuis longtemps, ce fameux jour que tout les enfants attendent avec le sourire et l’excitation de savoir ce qu’il va y avoir. Tu voyais plein de gens venir, des amis de ta mère. Tu approchais celle-ci aujourd’hui tu savais qu’elle allait te dire quelques choses de positif.
« Aujourd’hui nous sommes un jour spécial ! -Oui ! -Oh ? Tu t’en es rendu compte Faith ? C’est bien ! -Alors alors ? -Je suis enceinte ! Il faut fêter ça aujourd’hui ! -…ah ? -N’es-tu pas content pour maman ? »
Faith a attendu, attendu 1h qu’elle remarque que nous sommes une date spéciale aujourd’hui. Pourtant, tu as ton attente était veine. Rien du tout, juste des femmes qui parle de ta mère, t’ignorant complètement toi qui attend sur ta chaise. Elle a oublié ? Elle t’a oublié. Avançant pour retourner dans ta chambre, tu baisses la tête, le regard complètement vide. Te laissant glisser sur le sol de ta chambre en ramenant une feuille de dessin, le petit prend un crayon et se met à dessiner comme pour oublier. Au bout de quelques minutes, on pouvait remarquer un gâteau, ses parents, plein de couleur qui apporterait pourtant un sourire. Regardant son dessin comme voulant aller dedans, le jeune homme le lève au ciel en le fixant.
« Joyeux anniversaire ; Joyeux anniversaire Faith… Joyeux anniversaire… »
Cette chanson joyeuse qui résonne dans la pièce comme un chant triste, un long silence se fait alors, pesant, lourd. Comme pour réalisé qu’il est seul, abandonné dans une chambre qui ne lui apporte aucune chaleur. C’est alors qu’on entend un petit gémissement se fait entendre de ce garçon, un gémissement qui se change en pleure, des pleures qui veulent un réconfort qui ne viendra jamais. Tu es seul Faith, si seul, mais personne ne le remarqueras aujourd’hui, car c’est une journée magnifique.
Se réveillant en pleine nuit, le brun a entendu des bruits dans le hall, approchant alors sa porte pour regarder ce qu’il se passe. Il remarque alors une forme paternelle dans le salon qui parle avec sa mère. Serrant un peu la porte, Faith essaie d’entendre la conversation.
« Cela c’est bien passé ? -Fort bien, on a déjà trouvé plein de nom pour le petit ou petite ! -… je te parle de l’anniversaire de Faith. -Ah ça, il est puni, il a eu un trimestre catastrophique. Tu te rends compte, il n’est pas premier ! Donc il ne mérite pas. »
Elle le savait que c’était un jour spécial alors, serrant cette porte en colère, tu fais demi-tour pour aller dans ton lit. Aucun effort ? Tu te débats comme tu peux, mais y a toujours plus fort que toi faut croire, c’est la vie. Serrant encore une fois tes draps, te mordant la lèvre, tu entends des pas s’approcher de ta pièce. Alors tu te couches pour faire semblant de dormir, cela n’est d’autre que ton père, qui rentre dans la chambre pour te frotter vite fait les cheveux comme pour te rassurer. Cela ne dura que quelques minutes, mais cela t’a fait un peu de bien. Quand tu entends la porte se fermer, tu te retourne pour la regarder, remarquant alors un paquet sur ton bureau. Comme un enfant que tu es, tu t’empressas de courir vers celui-ci pour l’ouvrir. Un cadeau c’est quelques choses qui vient du cœur n’est-ce pas ? Alors pourquoi tu affiches cette mine déçus quand tu remarques ce qu’il y avait de caché dedans ? Désillusion. Le garçonnet se tourne vers sa boite de jeu, voyant le même jouet qu’il a eu le même jour l’année dernière… Ton propre père ne sait même pas ce que tu as, il ne t’a même pas demandé ce que tu voulais. Il a du le prendre vite fait, se disant que tu vas aimer cela ? Pourtant, peut être que tout ce que tu aurais voulu, c’était un : Joyeux anniversaire Faith.
C’est peut être ce jour là que tu as décidé que la vie ne valait pas le coup de se démener pour rien. Tu avais beau faiire, tu n’avais rien, alors à quoi bon. Blasé, dépité de la vie, cet enfant en a perdu le goût. Les parents doivent montrer que le monde est beau, Faith ne voit qu’un monde monochrome et immonde. Des parents jamais là, un frère, ah oui c’est vrai un frère qui te prend cette mère car au fur et à mesure que le temps passe, il est le gentil toutou adorable de ta mère. Sans cesse, elle vous comparé, sans cesse tu n’es qu’un moins que rien à côté de lui. Faith a tout abandonné, ne croyant plus en rien. Il va juste à l’école pour passer le temps, il a abandonné le piano alors que cela faisait très longtemps qu’il en faisait. Il est maintenant tombé dans le monde virtuel, les jeux vidéos, les animes, tu t’amuses même avec les logiciels de musique avec les chanteuse artificiel. Tu as tout abandonné de cette vie où tu n’attends rien pour t’enfermer dans ton monde. Après tout, tu y es beaucoup mieux que dans cette vie que tu as tentée d’avoir ; et puis tu as un remplaçant, donc Osef.
Tu ne participes à plus rien aussi, aucune fête, plus de noël, plus d’anniversaire. De temps en temps tu remarques que tu as raté ces fêtes quand ton père à laissé de l’argent sur ton compte. De puis l’incident du cadeau, il ne fait que déposer de l’argent. C’est tellement plus facile de poser de l’argent que dire je t’aime ? Ou tu vas bien ? Oui tellement plus simple. Bien que tu ne rentre plus dans le moule de la société, bien quand cour tu apprends pour oublier en suite, tu ne fais plus rien de ta vie, car tu n’en as pas envie.
« T’es un alien ? »
Cette phrase attire ton regard qui monte lentement vers une silhouette aux cheveux blond. Clignant un peu des yeux, Faith ne bouge pas, ne réagit pas, ne dit rien. Le jeune homme pose son plateau en face de lui, sans demandé bien sûr, et regarde dans les yeux notre héros.
« Aucune émotion, rien du tout ! C’est presque magique ! T’es pas humain ?! T’es quoi ? Un Alien ? Un monstre qui attend le bon moment pour nous bouffer ? »
C’est sûr qu’on aurait pu tout te dire, mais là tu ne t’attendais pas du tout à ce genre de remarque. Alors que tu buvais ta brique lait, tes yeux se sont légèrement grossis. Tu t’en étouffa presque avec la goutte de lait qui est mal passé dans le mauvais tuyaux.
«Oh mon dieu, j’ai trouvé ton secret ! Alors, on va pouvoir négocier ! -Je suis humain. -Il connait notre langage ! -Suis humain. -…sérieux ?! »
C’est sûr qu’un type pareil tu ne pensais pas que cela existait vraiment, c’est presque magique comme cela te surprend, mais tu ne l’affiches pas vraiment. T’es plus entrain de te demandé s’il est pas drogué ou alcoolisé.
« Moi c’est Seto Yuzuru ! Et toi tu es Kobayashi Faith c’est ça ? Non me répond pas, je le sais car on est dans la même classe ! Je suis ton voisin d’une place ! »
Il parle beaucoup trop pour toi, tu ne sais pas trop quoi dire en fait. Bien que tu ne parles jamais en vrai. Tu commences à manger ton repas de midi, même si monsieur parle de tout es rien, c’est fou comme tu as du mal à l’ignorer, il parle BEAUCOUP trop. Mais, quand la sonnerie retentit, tu peux enfin quitter le Lycée, enfin tu pensais pouvoir être tranquille mais non.
« Kobayashi ! Attend moi ! »
Tu te stoppas sans te retourner, tu savais très bien qui c’était derrière toi, l’homme blond du prénom de Seto le moulin à parole. Dés que tu l’as eu dans ton champ de vision, tu as repris la torture en cour pour l’entendre parler de tout et rien. Des merci paumé dans la conversation, des je et des tu; bref une conversation normal de collégien on peut dire. Bien que tu ne t’es pas rendu compte que vous êtes plus vite arrivé chez lui que chez toi, il t’invita comme un « ami ». Une famille nombreuse ? Enfin, tu remarque un bébé, une gamine qui fait des cercles sur une feuille de papier et une maman qui à pas mal de forme, ça change de ta mère qui on se demande si elle vraiment eu des enfants. Faith arrive alors dans la chambre de l’homme qui montre une certaine passion pour le cinéma, tu m’étonnes qu’il croie aux extraterrestres.
Bien que tu le trouvais insupportable, il a finit par devenir ton « ami » ou ton pot de colle aux choix. Mais, tu lui parle, vous sortez comme les autres le font aussi, tu revis Faith ? Peut être bien. Bien qu’a chaque fois que tu arrives chez toi, ou ton ami n’a pas le droit de venir car cela dérangerais Daï. Oui, cette fois c’est la mère qui a choisit le prénom, toi c’est l’intrus anglais. Tu en avais de plus en plus marre de rentrer chez toi, t’aurais presque voulu qu’un camion fonce dans la maison et que tu dois dormir à l’hôtel ou une tempête aussi qui t’empêche de quitter l’école, bref n’importe quoi pour pas rentrer. En plus, ta mère te tanne pour savoir dans quel lycée tu vas rentrer, c’est juste insupportable. Rakuzan ? Très peu pour lui, il ne supporte pas du tout ce genre de pensé. Mais, il fallait se décider un jour ou l’autre, regardant tout les dépliants des écoles chez son ami, le brun était blasé.
« Alors ? -Aucune idée. -Moi je vais à Kaijo ! Ils ont presque tous les clubs de sport ! Je veux trop aller dans celui de foot -Hum… -Tu devrais y aller ! Mais tu sais jouer à quoi ? -Rien. »
C’est sûr que le sport, t’en as rarement fait, ce n’est pas noble aurait dit ta mère. Roulant un peu des yeux, le jeune homme soupir un peu avec sa pensé négatif. Alors ton ami c’est mis en idée de te montrer tout les sports possibles, en faisant ta propre liste de ce que tu penses.
Tennis : Taper dans une ball, c’est amusant 5s après c’est ennuyant Ping-pong : encore plus ennuyant que le Tennis Foot : non être gaule trop dangereux et trop de joueur sur le terrain. Natation : je n’aime pas l’eau. Baseball : Trop salissant en poussière. Football américain : autant arrêté tout de suite, je ne veux pas crever comme ça Course à pied : aucun but à la fin Sport de chambre : …non là c’est une blague. Gym : Plus gay et c’est bon je signe tout de suite.
« Alors t’aime pas quand y a trop de monde, qu’il y ai pas d’objectif, qu’il y est pas d’eau, qu’on te touche pas trop, et que tu dois pas tenir une raquette. T’es pas chiant Kobayashi. Et ma blague elle était drôle ! »
Soupirant longuement, tu pense plus aller dans un autre que tenter de faire un sport. C’est sûr que tu es assez difficile tout de même en choix de sport. Ils ont tout de même tenté encore pas mal de sport, mais cette fois c’est toujours le même résultat.
« Bon dernier essaie ! Le basket ! »
Il lance le ballon que Faith réceptionne en le regardant dans tout les sens. Bon c’est gros, c’est dur, c’est déjà un bon point, en plus sa rebondit c’est génial, non ? Explication rapide de ce qu’il faut faire, des différents postes, merci internet pour les infos. C’est à la fois simple comme compliqué n’empêche. C’est alors que le match commence, il faut juste savoir jouer de ses jambes et ses mains. Le but est de lancé la balle dans un panier, on doit éviter les contactes, et on doit vite passer la balle de façon à ce que le jeu soit vivant. Au bout de deux heures, le brun soupir d’épuisement.
« Alors ?! -J’aime bien par rapport aux autres. -YES ! »
Une victoire d’un homme, on dirait qu’il est devenu le maitre du monde comme il danse dans tous les sens. Surtout que son ami va sûrement le suivre, donc il est content. Offrant alors le ballon de basket à Faith, il se sépare pour rentrer chacun chez sois. Jouant avec le ballon dans la rue, c’est amusant ? Ouais, ça fait passer le temps au moins. Te voilà maintenant chez toi, rentrant dans ton bazar de chambre où on se demande clairement comment tu fais pour avancer là dedans. Lançant le ballon pour toucher le plafond, tu te reposes sûrement avant de jouer à la console ? Non, tu t’amuses en ce moment même. Jusqu'à ce que tu décide de sortir dehors, tu voulais encore jouer ? Oui, tu décide d’aller dans les endroits pour jouer. Tu n’es qu’un débutant, mais au moins tu apprends comme ça, puis tu pars du principe qu’un peu de jeu te recule loin de ton chez toi.
Il était tard, mais avec le soleil qui se couche tard, tu ne t’es pas rendu compte. Levant la main mécaniquement pour saluer les joueurs qui s’en vont. Tu es plein de sueur, tu es crevé. Avançant avec ton ballon qui à bien bouger, tu as bien passé le temps pour ne pas rentrer chez toi, puis tu penses à autre chose, cela te vide la tête au moins. Bien que la réalité vient te fracasser la tête d’un coup.
« Faith ! Vient ici tout de suite ! Comment oses-tu me désobéir ?! Tu es vraiment insupportable. Je t’ai pas demandé de choisir, tu vas à Rakuzan ! Tu me fais honte ! Tu devrais avoir honte, ton propre frère lui a compris. Tu es si honteux, heureusement que ton frère es là. -Oui mère, je suis toujours là contrairement à Faith qui vous désobéit. -J’fais ce que je veux. -C’est quoi ce ton plat ? Tu vas tout de suite choisir un autre choix ! Je le refuse. -Peut être quand vrai Rakuzan la refusé mère. Ricane-t-il -Oh, mais oui je n’y ai pas pensé, tu aurais du me le dire Faith que tu n’étais qu’un raté. -Oui, il n’est pas comme moi. »
Serrant ton poing, tu détestes cette maison. C’est alors que ton petit frère saisit le ballon que tu avais.
« En plus tu fais mumuse à courir après un ballon, c’est pathétique d’avoir une personne aussi dérisoire dans notre famille. »
Il te rit au nez, te pointe du doigt. C’est toujours ça, c’est comme ça dans cette famille. Le sport c’est pour les crétins, la musique pour les intellos ? Pensée ridicule. Ton toujours aussi peu expressif approche ton petit frère qui rit encore. C’est alors par une pulsion presque mécanique encore une fois, tu lui collas ton poing droit en pleine tronche. Il est tombée au sol, le nez en sang et entrain de pleuré comme une fillette. Il recule effrayé par toi, ta mère hurle car son chef d’œuvre était entrain de saigné. Mais cela t’importe tellement peu, tu avances vers la sortie, sans affaires, sans rien, avec juste ton ballon et une veste. Tu t’en vas de cette maison qui n’a jamais voulu d’un déchet comme toi.
« Et alors tu lui as mit une droite ?! WOH GG ! »
Le seul endroit où tu pouvais dormir sans avoir de soucis, sa mère voulait bien de toi. Tu ne pouvais clairement pas rentrer, ni même avoir le toupet de rester là à regarder la souffrance de cet homme, car cela ne te plait pas. Les débuts des vacances à bien commencé. Surtout quand en plein milieu, ta mère porte plainte pour agression. Ta propre génitrice qui porte plainte contre toi… Cela te blasa et ton ami éclata de rire. Ce qui a fait rappliquer rapidement le père de son travail, il vient de voir qu’il y a de la tension dans la famille ? Pas trop tôt.
Bon, c’était long et inutile pour toi. Résultat ? Tu n’as plus le droit d’approcher cette pauvre victime de Daï. C’est vrai que t’a vraiment envie d’aller l’approcher, cette mère est stupide ou quoi ? Donc, tu ne pouvais plus habiter chez eux. Ton père du sortir le chèque pour t’offrir un appartement à son nom. C’est pratique les bons métiers ? Oui, on peut tout acheter, tout sauf l’amour d’un fils. Faith n’a fait que voir un homme qui avait la tête ailleurs, un homme qui n’a même pas demandé ce qui c’est passé. N’oublie pas que tu es le fruit d’un amour inexistant Faith. Au moins, cette affaire a fait faire une procédure de Divorce pour tes parents, ils auraient pu te remercier non ?
« Voilà Faith, cette appartement est pas loin du Lycée où tu vas aller. J’ai fait tout meubler. Tu as mon numéro personnel et de travail sur le fixe. Le code de la porte du bas et là. Ah et aussi, les épiceries pas loin je te les ai noté. -… -Si tu as un problème, n’hésite pas ! Par contre je te laisse, je dois vite aller au bureau pour une réunion. »
Un tapotement sur l’épaule et le son d’une porte qui se ferme.
Oui papa, ça va.
Tu réponds tout seul au mur et le mur ne te répond pas du tout. Approchant ta chambre avec toutes tes affaires, c’est fou comme cet appartement fait vide. Aucune photo de famille, aucune photo de toi. On dirait un appartement d’exposition. Pourtant, cela tallais très bien, une nouvelle vie comme dit Seto. Pour fêter cela ? Une coloration, car cela change les idées, tu es alors devenu blond. Au moins, cela te change un peu, même si tu ne le montre pas vraiment. Puis en plus, tu es bien arrivé dans ton Lycée et rejoins le club de Basket, au moins tu te vide un peu la tête.
Puis après la disparition du père, le voilà te ramenant une adoptée chez toi. Alors déjà il trouve quelqu’un d’autre pour donner l’amour que tu n’as pas eu, mais en plus il te demande de l’accepté chez toi ? C’est bien drôle… Non, c’est totalement blasant en vrai. Tu ne vas pas dire non, car c’est son appartement à lui, pas à toi. Donc tu te décales sans rien dire, laisse-la donc rentrer dans cet endroit dit chez toi, qui n’est pas chez toi. Acceptes donc tout et ne dis rien du tout. Laissez couler est tellement plus facile que dire non. Avril ? Eh bien soit, tu seras sa sœur, puisque l’homme qui l’a fait te la dit et t’impose d’être son frère. Tu entames ta deuxième année avec une sœur alors, elle n’est pas comme ta famille au moins, cela te rassure ? Tu ne sais pas vraiment. Ah au fait :
Oui papa, je vais très bien j’adore la vie comme tu le vois, tu as remarqué comme je suis heureux. Ahahaha, ouais cela ne se voit pas. Après tout ce n’est pas compliqué à comprendre. Mais bien sûr, tu ne le verras jamais, mais passons donc. Je suis parfaitement heureux, la vie est génial… Merci pour cette vie Papa.
TEST RP La sonnerie d’une libération, c’est ce que tout le monde pense dés que ce bruit strident résonne dans tout le bâtiment. Il commence déjà à faire un peu nuit, c’était le dernier cours avant le week-end. Il est toujours le plus long de tous, surtout quand il est ennuyant. Les élèves se retrouvent en bas pour refaire leur groupe d’ami heureux. Tu regardes ce monde qui s’attroupe pour partir presque main dans la main. Tu es si seul Faith, mais hélas, c’est comme ça. Ton ami ? Vous n’êtes plus dans la même classe, ni dans le même club, en fait d’aller dans ce Lycée te l’a fait perdre sûrement. Enfin, il te parle de temps en temps, mais ce n’est plus comme avant. Mais de toute façon, tu ne vis pas dans le passé, donc il n’était qu’une passade comme tout le reste.
Fermant ton casier, tu n’attends pas naïvement comme les autres que quelqu’un t’attends, car tu ne le sais mieux que les autres que personne n’est là pour toi. Peut être que tu devrais être un peu plus sociable ? Tu n’as pas du tout envie. Poussant un large soupir en hochant un peu la tête vers un prof qui passe vers toi. Tu n’as rien d’autre à faire de toute façon, donc autant tout de suite rentrer. Tu ne prends pas de transport en commun, car tu économises un peu ton argent, pour rien, mais on sait jamais tout de même, tu serais prévoyant ? Non, surtout quand tu vois les transports plein à craqué, cela ne te donne pas du tout envie. Donc tu marches un peu, puis c’est bon pour la santé soi-disant, on trouve des excuses comme on peut.
Faith s’arrête devant un distributeur pour se prendre un café au lait, histoire de se réchauffer un peu. Plus beaucoup de chemin tu te dis, bien que de toute façon personne ne t’attende. Si ta sœur, mais elle peut très bien vivre sans toi, puis tu détestes te presser pour un rien. Alors tu prends toujours ton temps. Peu importe ce que diras Avril.
Te voilà enfin chez toi, dans ton bordel qu’il faudrait un jour ranger ? Non, tu n’as pas envie, puis tu t’y retrouve au moins. L’odeur d’un bon repas pas prêt se sent, il faut préparer ? Non, toujours pas envie. Tu rentres dans ta chambre, allume ta console, et te pose sur ton canapé d’un air nonchalant. Tu vas jouer jusqu'à ce que ton estomac te hurle qu’il a faim ? Oui. Car tu pousses de plus en plus loin l’effort de te faire un peu de nourriture, c’est ennuyant et tu ne sais rien faire d’autre que d’attendre la dernière minute.
Un sms pour te donner ton compte en banque, tu regardes l’heure qu’il est. Beaucoup trop tard, il est minuit passé maintenant. Le réseau a fait encore n’importe quoi aujourd’hui, heureusement que tu ne dormais pas. Sauvegardant ta partie, tu quittes ton état léthargique pour aller dans la cuisine, il y a bien sûr pas grand-chose, n’étant aucunement l’un comme l’autre de grand cuisinier, vous avez beaucoup de plat tout fait pour votre dieu le micro-onde. Aujourd’hui, cela sera une soupe instantané à la tomate vermicelle et viande séché en sachet, on sent le plat très équilibré. Heureusement que tu achètes tes bentôt tout fait pour manger des légumes. Mettant la bouilloire en route après avoir mit de l’eau et fait ta préparation qui ta pris tout au plus 5 minute en tout, tu te dirige sur le balcon. Une tranche dans la bouche bien poivrée, la tasse bien chaude dans tes mains, tu regardes ce paysage sublime des milles lumière de cette ville durant la nuit. Il a beau être tard, cette ville est toujours animé, avec la vue que tu te paie, tu n’as pas besoin d’allumer le télé, vivant assez haut dans ce bâtiment, tu crois êtres au 10éme, enfin t’es plus proche du toit que du sol. Avalant ton bout de viande et buvant le liquide brulant, tu regarde cette vie s’animer que tu n’as pas dans ton toi.
« Not today.»
Tu le dis souvent, comme pour dire qu’aujourd’hui ne seras pas un nouveau jour plein de joie et de changement. Non, c’est une prochaine journée ennuyante, une prochaine journée toujours banale sans passion. C’est comme ça, c’est ainsi que va la vie. Ou peut être que c’est pour dire que ce n’est pas encore aujourd’hui que tu vas faire le grand saut pour dire bonjour à la mort ? Ou simplement tu dis cette phrase en anglais pour t’occuper l’esprit vide ? Tant de question, avec tellement de réponse qu’on croirait qu’il n’y a pas de réponse.
« Bon, au lit. »
Et cette vie va continuer encore et encore dans sa plus grande banalité. Quelle vie misérable
CAPACITE DU JOUEUR Faith est un joueur qui est assez agile et rapide. De part ses expression peu présente, il est capable de vrai coup de bluff. On pourrait dire qu’il serait un très bon joueur s’il montrait un peu plus de passion comme les gens. Mais au moins, on peut lui faire confiance quand on lui confie la balle, il fera tout pour qu’elle rentre dans le panier. Il obéit bien au tactique, mais on ne peut pas lui demander de faire une vraie tactique, il ne cherche pas trop loin. Il est aussi le genre de personne assez imprévisible du fait qu’il réagit au dernier moment, ce qui est à la fois un talent comme un défaut. Il est vif dans ses gestes, bien qu’il y a encore quelques lacunes dans le jeu de jambes, mais encore un peu d’entrainement et cela sera sûrement corrigé.
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- Pseudo : Lyria; Appareil photo mignon, Lyrna
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Dernière édition par Kobayashi Faith le 10.01.16 22:56, édité 2 fois |
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