The Basketball Which Kuroko Plays
 
Bienvenue sur KnB-RPG, jeune Rookie !
Tout le monde doit signer le règlement & se recenser ! N'oubliez pas de voter !
Merci de favoriser le choix de personnages du manga en priorité ! 50 pockys offerts pour tout prédéfini prit
Les lycées Seiei, Fukuda Sogo, Kirisaki Daiichi, Shutoku et Kaijo recherchent des membres !
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez
 

 Shirazaki Natsuki [completed]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Anonymous

Invité


Informations
Agenda RPG


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock28.12.13 23:03


Shirazaki Natsuki




Généralité


  • Nom : Shirazaki
  • Prénom : Natsuki
  • Surnom : Shi-chan, Natsu, Ki-chan, pastèque, Nii-san, Onii-chan...
  • Age : 16 ans
  • Date de naissance : 6 Avril
  • Nationalité: Japonais
  • Taille : 183 cm
  • Poids : 71 kg
  • Orientation sexuelle : Pour le savoir, il faudrait déjà avoir essayé... :)
  • Statut social : Classe moyenne.
  • Situation familiale :   Il vit avec ses parents (mariés), sa demie soeur qui est à l'université, plus sa petite soeur et ses deux petits frères en bas âge.
  • Etablissement : Shutoku
  • Double Compte : Non
  • Avatar : Kageyama Tobio - Haikyuu!!



Caractère
« Un esprit saint dans un corps saint ».

On ne sait pas forcément par où commencer. Le culte de la beauté ou le culte de l’intelligence ?

Nier ce que l’œil perçoit pour ce que le cœur ressent.

Se fier à son instinct n’est jamais une partie de plaisir, surtout lorsqu’on a du mal à distinguer sa propre voix de celle d’autrui. Une préoccupation qui est passée sous silence par le jeune homme. Personne ne lui avait enseigné l’écoute et l’estime de soi, alors, il a fait sans. Non pas que ses parents aient été des bourreaux égocentriques et manipulateurs, mais disons que les besoins et les envies de leurs progénitures étaient souvent ignorés. La conséquence de tout ça est, qu’à l’heure actuelle, Natsuki n’a aucun espoir, ni aucun projet d’avenir. Il vit au jour le jour, en essayant de faire avec ses carences. Toutefois, c’est un lourd fardeau à porter, fardeau qu’il ne partage avec aucun membre de son entourage si ce n'est ses grands-parents du côté de sa mère. Il s’est toujours tu, a toujours souffert en silence, faisant abstraction de ses moindres sentiments positifs ou négatif. Il a construit peu à peu un mûr entre lui et les autres, une carapace pour se protéger. L’arrogance est l’une de ses principales armes. Natsuki n’hésite pas, quand il se sent menacé, à rabaisser les autres, en les jugeant, les critiquant, à la recherche du point sensible.

Au premier abord donc, il ne peut vous paraître accueillant et aimable, la plupart de ses expressions faciales trahissent ses sentiments les plus profonds. Il n’aurait nullement l’envie de vous saluer, ni de tendre une main secourable. Comment pourrait-il être utile à qui que ce soit, alors que lui-même ne trouvait aucune utilité à son existence ? Ni en la vie en elle-même. Quelque part, on pourrait le qualifier de fataliste. Tout serait déterminé dès notre naissance, nous n’avons aucune prise sur les événements, ni les situations qui nous sont imposées. Il arrive, parfois, que l’on s’impose nous-même des choses douloureuses, Natsuki en a conscience, mais ce ne sera jamais vraiment de sa faute. Si Dieu existe, c’est à lui qu’il faudrait se plaindre, car l’être humain, le malheur, le bonheur, les phénomènes naturels, tout ce qui, finalement nous entoure, est l’œuvre d’un autre. Notre propre vie ne nous appartient pas. Bref, on ne peut agir sur son destin. On peut seulement faire des choix. Que l’on les considère bons ou mauvais, ce sont des choix, un point c’est tout. Natsuki choisit en fonction de son humeur, il reste néanmoins logique et cohérent.

Ce n’est pas parce qu’on ne fait pas de projets d’avenir que l’on a aucune ambition. Natsuki est, avant tout, un grand rêveur, mais qui ne passe pratiquement jamais à l’acte, par peur. Peur de l’échec, peur du rejet, peur de ne pas être aimé… Des termes qu’il refuse d’employer, mais qu’il sait être véridiques. Il a de nombreuses passions, à commencer par le sport. La seule chose qui le fasse réellement se sentir vivant. Il en a pratiqué beaucoup et ne lésine pas sur les efforts. Le sport est un peu sa thérapie. Il en apprend sur lui, sur ses forces, ses faiblesses… Il apprend qu’il est un être humain, mais cela ne lui permet pas de mieux s’accepter pour autant. Les faiblesses il faut les cacher, sinon les autres en profitent pour se moquer. Une blessure profonde peut facilement s’infecter, si elle n’est pas soignée à temps. Le danger de mort, mort psychique, Natsu l’a vécu. Plus jamais il ne fera confiance à qui que ce soit. C’est ce qu’il s’était juré, le jour ou son père lui a annoncé la nouvelle de son intégration à un programme spécial pour enfants obèses. Ce jour restera à jamais gravé dans sa mémoire, ce fut son plus grand traumatisme.

Même en ayant perdu du poids, Natsu ne se sent pas spécialement bien dans sa peau, il est toujours très mal à l’aise avec les personnes de son entourage lorsqu'ils lui montrent des anciennes photos, ou ses anciens camarades de classe qui, maintenant, lui parlent comme à une personne normale.  Il est assez susceptible à ce sujet, et n'aime pas trop qu'on revienne dessus.

J’ajouterai qu’il déteste perdre. Enfin, tout dépend contre qui. Si l’adversaire est plus fort, il aura moins de mal à l’accepter que si il semble faible. Le changement, l’évolution, l'inconnu... L'Univers même est angoissant. Et quand il angoisse, il pique une colère. C’est ça, il est « colérique », mais c’est une colère qui exprime sa souffrance de ne pas réussir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas toujours savoir comment réagir. Il est, en quelques sortes, jaloux des capacités des autres.  C’est aussi le cas concernant ses histoires de cœur. Si à 16 ans il est encore vierge, ce n’est pas un choix assumé. Sa pudeur ne s’arrête pas au mental. Bien, qu’il soit conscient de son récent pouvoir d’attraction, il sait aussi qu’un corps c’est précieux et que ça ne se donne pas au premier ou à la première venu(e). (C'est qu'il serait romantique des fois :o).

Avec tout ceci, on pourrait croire que Natsu n’a rien pour lui. FAUX. Il a beau être un grand solitaire au cœur dur, lorsqu’on le fréquente assez longtemps, d’autres facettes de sa personnalité apparaissent.

Très respectueux des règles et de l’autorité, c’est presque un modèle de sagesse à son âge. Il n’a jamais volé quoi que ce soit, ni même mal répondu à un professeur, seulement face à une vraie injustice. La seule cause qu’il pourrait défendre concerne les personnes âgées. Régulièrement, il rend visite à ses grands-parents en campagne, les seuls avec qui il se sent à l’aise et parle à cœur ouvert. Natsu est, par ailleurs, très attaché à sa famille, parents exclus. Il aime prendre soin de ses frères et sœurs et aider dans les tâches ménagères. C’est une vraie petite maman poule, qui, en plus à un grand souci de propreté. Sa chambre est parfaitement en ordre, ses livres classés par ordre alphabétique, ses vêtements rangés par type, couleur, saison…

Faire figure d'exemple n’est pas toujours facile. Concilier les cours, le club de volley avec sa vie de famille relève parfois du parcours du combattant. Heureusement, il s'entend très bien avec ses frères et soeurs.  Quant aux relations avec ses parents, ça reste tendu. Le dialogue est inexistant avec le père et la mère est trop occupée avec son travail pour prendre le temps de parler avec ses enfants de leur petite vie. De toutes les façons, elle et Natsu n'auraient pas grand-chose à se dire et puis le jeune homme ne parle généralement pas beaucoup. Il n’a pas la langue dans sa poche quand il a quelque chose à dire, mais se muer dans le silence ne représente pas une mauvaise chose. Il aime le silence, parfois s'isole lorsque le bruit devient trop insupportable. La foule ne lui inspire pas grand chose de positif, mais pas au point de faire des crises de tétanie. Plutôt que diriger, il est du côté de l’écoute et de l’analyse. Deux de ses grandes qualités. Il observe tout, discrètement, retient le plus important et le ressort au bon moment. Cela lui permet d’obtenir des notes supérieures à la moyenne en classe, sans être non plus parmi les meilleurs. Il ne se donne pas non plus à fond, un reproche que ses professeurs ne manquent pas de lui faire.  

L’adolescent préfère les actes aux mots, puisqu’il n’est pas en mesure de montrer ses sentiments, il fait ce qu’il peut matériellement parlant. Pas forcément en achetant des choses, mais en organisant des activités, évidemment, seules les personnes proches de lui – dont il supporte la présence – sont conviées. En général, cela se passe durant les fêtes culturelles, les anniversaires ou autres événements du genre. Cela peut aller d’un atelier cuisine à une randonnée en montagne. Sa curiosité le pousse à la pêche aux informations, aussi pour sa culture personnelle.

Pour se faire un peu d’argent, de temps en temps, il rend service à des personnes âgées de son quartier (courses, cuisine, ménage, tondre la pelouse, promener le chien etc…). S’il y a bien une chose qu’il déteste par-dessus tout, c’est l’hypocrisie sociale. L’honnêteté est une vertu, peut-être la seule qualité qui en vaut vraiment la peine. Pour terminer, toujours dans la continuité des vieux, les grands-parents de Nat’ lui reconnaissent sa simplicité. Jamais de caprices – même enfant -, ni de réclamations disproportionnées, bien au contraire.  Ils prennent tout de même des pincettes pour parler de l’enfance de leur petit-fils. Son obésité avait jeté la honte sur la famille Shirazaki. Toutefois, ces deux êtres merveilleux avaient toujours encouragé lNatsu à aller de l’avant en suivant sa propre voie.

« Peu importe que tu sois aimé ou rejeté, l’important, c’est que tu sois heureux en faisant ce que tu aimes et en aimant ce que tu es. »

Histoire

Natsuki a écrit:


Cher journal…

Ca fait vraiment trop con d’écrire « cher journal », comme si un journal pouvait lire. Qui a inventé cette expression totalement débile ? Je vais remplacer ça par… Cher… Quelqu’un. Ou cher… Personne. Qui va lire ça ? A mon avis - oui parce que je demande pas l'avis d'un journal ahah - personne.
En fait, je devrais juste m'adresser à moi-même, mais ça fait un peu trop narcissique à mon goût.
Je cacherai soigneusement les preuves dans un endroit que je ne dévoilerai pas ici. Sait-on jamais que j’aime écrire, ce serait dommage que ces textes tombent entre de mauvaises mains. Bon alors, par ou commencer… Déjà, sauter une ligne...

Voilà.

**tain ! Le « voilà » devrait pas être là…. Argggggg !! Quel idiot ! (nope je barre).
J’ai bien envie d’arracher la page, mais ma mère dit qu’il ne faut pas gaspiller (et elle a bien raison !). Donc... Je disais… Enfin j’écrivais, non plutôt j’écris, le récit n’a pas encore commencer et je dois utiliser le présent à ce qu'il parait. C'est logique... Bref. Là je commence, ok ?

Je tiens à préciser que cette idée n'est pas la mienne et ne l'aurait jamais été.

C’est Mamie, 'fin ma grand-mère, qui m’a conseillé d’écrire pour extérioriser mes émotions (lol). Je ne sais pas si ça va marcher, mais ça ne coûte rien d’essayer. Je dois donc écrire ce que j’ai sur le cœur depuis presque 10 ans… Il y a beaucoup de choses que j’ai envie de dire, mais je n’ose pas. Ma mère ne fait pas vraiment attention à moi, quand j’étais bébé, elle a dû le faire, quoique, je n’ai pas de souvenirs et mes parents pourraient très bien raconter des cracs. Je suis quasiment certain que les parents exagèrent toujours quand ils parlent de leurs gosses. Moi, par exemple, j’étais sois disant un bébé étrange, tantôt calme, tantôt braillard, mais avec une bouille d’ange (je ne sais pas si on a vu les mêmes photos) et que je mangeais quasiment rien. Je ne sais pas exactement ce qui a déclenché cette soudaine prise de poids. Je devais avoir 7 ans, d’après mon père. J’étais très timide, j’avais du mal à aller vers les autres et me mettre à l’école fut un véritable parcours du combattant. Je ne faisais que pleurer en appelant ma mère, ensuite, comme j’ai senti que je ne pourrai pas y échapper et je me suis isolé. C’est là que l’enfer a débuté, autant pour mes parents que pour moi.

A cette époque, ma mère n'avait que sa carrière en tête et faisait régulièrement des heures supplémentaires, elle avait besoin de travailler. (Mon père la traite souvent de bourreau de travail, encore maintenant).
Malgré tout, elle aimait ce qu’elle faisait et semblait épanouie. Du moins, c’est ce que j’ai entendu, à l’heure actuelle c'est sûrement le cas, elle est à son compte et occupe des fonctions plus importantes, sa branche a toujours été culturelle. Elle est passionnée par la gestion et l’organisation, son grand délire de l'année est de vouloir me marier pour qu'elle puisse s'occuper des préparatifs (pendez-moi!)
Le plus drôle dans tout ça, c’est que je n’ai pas un souvenir d’elle en train d’organiser quoi que ce soit à la maison. Elle a toujours tout fait à la va vite, sans prendre le temps de se poser tranquillement et de souffler. « Plutôt mourir que rester assise ». J’ai entendu cette phrase une bonne centaine de fois et chaque fois qu’elle la répète, je me retiens de lui dire « Ta gueule, tout le monde s’en tape ». C’est pas souvent que j’ai eu des prises de bec avec cette folle, elle n’a même pas le temps de me faire de reproche. La plupart de ses conseils tournent autour de la famille ou de l'école. « Prends soin de tes frères et sœurs, je sais qu’on peut compter sur toi pour ça ». « L’école c’est important pour ton avenir, si tu ne veux pas finir comme ton oncle, travailles dur ! » - Comme moi* (elle aurait pu l’ajouter, ça se sent qu’elle a envie de le dire, mais qu’elle se retient ! Ou alors je suis parano, mais je pense pas quand même).

Le spécialiste des reproches, c’est mon père. J’ai jamais vu un homme aussi plaintif (?). Pour la moindre petite chose il se met en rogne, c’est vous dire l’ambiance. Il n’y a que quand il n’est pas là que la maison est calme. Je préfère largement passer toute une journée avec mes petits frères et ma petite sœur plutôt que  d’affronter mon père juste 5 minutes. Ca fait un peu lâche d’écrire ça, non ? Tant pis… Après tout, je suis un lâche, je n’ai pas honte de l’avouer, je l’avoue seulement ici hein, jamais personne ne m’entendra dire que je suis faible. Non ok, je peux pas laisser ça, je barre.

Je ne sais pas trop ce que ça veut dire « être faible », mais j’ai pas l’impression d’avoir été si fort que ça. Mon grand-père prétend le contraire. Pour m’en être sorti et avoir perdu autant de poids, c’est que j’avais de la volonté. S’il savait…

Je n’ai jamais parlé à personne de ce qui se passait dans le camp. Je l’appelle « le camp » alors qu’à la base, ça se présentait comme un « Centre de cure pour jeune en surpoids et/ou en obésité ». Ahahaha, la bonne blague. « Cure ». C’est un très joli mot, qui contraste bien avec l’ambiance là-bas. Je venais d’avoir 12 ans quand j’y suis entré, vous vous doutez bien que ma scolarité fut difficile avant ça, à cause de mon poids. On pensait que je serai mieux au camp, entouré de jeunes qui vivaient le même calvaire que moi. Mais l’école n’était rien, comparé à ce foutu centre. Je me suis rendu compte en y entrant, à quel point j’aimais mon ancienne école. Les moqueries, les bagarres, les cours, même les profs, me manquaient. J’étais au moins libre de me défendre, de pleurer, de me plaindre, parfois je m'amusais. On appelait mes parents quasiment une fois par semaine, ils étaient convoqués, ils rencontraient parfois d’autres parents qui me regardaient soit avec pitié, soit avec dégoût. Une ou deux fois, j’eus le droit à des excuses sincères, mais la situation restait la même. Les enfants sont vraiment méchants entre eux. Moi-même je répondais au mal par le mal. Je ne tendais pas l’autre joue, je rendais au centuple, enfin j’essayais. J’étais une masse, courir relevait déjà de l’exploit, alors me battre… J’en ressortais tout transpirant et crasseux, mais au moins j’avais choisis d’agir plutôt que de subir. Au camp, je subissais…

Mes parents ne savaient plus quoi faire de moi, alors mon père a proposé cette solution. La plupart de mes soirées, après l’école, je les passais à rattraper mon niveau médiocre avec un professeur particulier, puis j’écoutais les remontrances de mon père, sans que ma mère n’intervienne. Ensuite j’avais le droit à un plat réchauffé, puis j’allais dans ma chambre. Le truc c’est que je m’empiffrais en cachette. Je pouvais grignoter tout ce qui me passait sous le bras. Mes parents n’étaient pas toujours derrière mon dos, fort heureusement. C'est très facile de perdre du poids et j'étais dans ma période "croissance" (peut-être que je le suis encore ?). J'avais des cachettes spéciales, je disais même à mon petit frère de cinq ans à l'époque, de me ramener des sucreries en prétendant que c'était pour lui. Je sais, j'étais vraiment taré.

Mais parlons un peu de la fameuse cure.
En 3 ans, j’ai perdu exactement 37, 6 kg. Je décrirai ça comme un camp militaire pour enfants. On avait un uniforme spécial tout dégoûtant et des grosses baskets assorties, qui nous rendaient encore plus difformes. Personne ne s'est fait couper les cheveux, mais ça donnait pas envie de les garder quand on nous les tirait. Le règlement était très strict, pas de sorties, si ce n’étaient celles organisées une fois par trimestre dans la ville voisine et tout ce qui nous reliait à la réalité nous avait été confisqué. Je ne pouvais joindre ma famille que depuis une cabine téléphonique et les appels étaient limités à 1 par semaine. Nous passions nos vacances au Camp, en vérité, il n’y avait pas de vacances. Tous les jours le même programme, les mêmes entraînements intensifs, sans compter les cours ordinaires et les cours de soutien. Nous avions a peine le temps de dormir ou de manger qu’il fallait tout recommencer, encore et encore… Les visites des proches étaient très rares et seuls les tuteurs étaient autorisés à venir, une demie journée maximum.

Je me suis fait des amis d’infortune, mais je ne les ai pas gardé après notre sortie du camp. Chacun est retourné à sa petite vie, quelques fois j’ai des nouvelles de ceux qui arrivaient à me supporter.

Au final, je n’ai pas perdu du poids uniquement à cause du programme intensif qu’on nous imposait. A un moment donné, j’ai voulu me laissé mourir, j’ai cessé de manger, tout bêtement. Je suivais l’exemple de quelques-uns de mes anciens camarades. Ils disaient que si nous arrivons à atteindre le seuil de dénutrition, ils seraient obligés de nous laisser sortir. Pour certains, ça a marché. Ils ont fait des séjours courts à la clinique du Centre puis revenaient quelques semaines plus tard, complètement déprimés. Il faut dire que les directeurs avaient des discours très convaincants. Et puis, nos parents avaient « payé bien cher » pour notre « bien-être ». Moi, je n’ai jamais vu de clinique, ni d’hôpital, en dehors de celui ou je suis né. J’ai bien tenté de me casser une jambe (au moins de faire semblant), mais les adultes n’étaient pas dupes.

Il n’empêche qu’il y avait quelques bons côtés. Lors de notre temps libre, on allait écouter de la musique dans les jardins, mais je préférai les livres de la bibliothèque. J'ai eu mon premier coup de foudre à cet endroit, mais je refuse de dire qui c’était. Trop la honte.
On avait accès à la piscine du Centre les week-end, parfois j’allais nager et j’aimais ça. J’étais doué pour la natation, l'escalade, le volley, le judo et le VTT.  Par contre j’ai détesté le basket, le foot et la course, je n’étais pas très endurant au sol et courir avec un ballon dans les mains ou dans les pieds, non merci. Mais on avait pas le choix. Je n'étais pas non plus mauvais, mais j'avais quelques difficultés face aux adversaires.

Finalement, mon plan de mort par dénutrition n’a pas fonctionné, j’ai repris des habitudes alimentaires normales, la bouffe n’était pas du tout mauvaise au Camp, j’ai redécouvert les saveurs de certains plats et même la sensation de satiété. Avant, je ne connaissais même pas ce mot.
Les profs n’étaient pas tous des bourreaux insensibles, certains avaient de la patience et ne nous traitaient pas comme des chiens. Mais, au moins une fois par jour, on avait le droit à des « bande de gros tas », « vous croyez que la Terre va supporter encore combien de temps des gens comme vous ? », « Gros et fainéants, j’aurai honte à votre place ». J’ai hâte de retrouver ces gens-là dans 50 ans. Je me suis juré, en sortant du camp, que je traquerais ces salauds pour leur casser la gueule.

Quand je suis rentré à la maison, 3 ans plus tard donc (ça fait un peu plus d'un an), j’étais transformé. Et en colère contre mes parents. Triste aussi, de ne pas avoir pu voir mes frères et ma sœur grandir. Mes souvenirs avec eux sont assez flous. Ma mère avait engagé une baby-sitter pour s’occuper des deux plus grands avant que je parte, mais je ne pourrai pas dire quelle tête elle avait exactement. Eux aussi étaient choqués de me voir, la petite a dit un truc du style: « T’es beaaaaaaauuuuu toi ! Cindy va être jalouse ! » (En parlant de sa poupée ok). Elle m’a demandé si j’avais une petite copine, pourquoi mon papa et ma maman m’avaient abandonné et si j’allais rester longtemps chez eux.  Mon père, ce sal*** s'est bien tapé une bonne barre avant de lui dire la vérité. Ca ne l’a pas calmée pour autant, encore aujourd’hui, elle me piste quand je rentre du lycée pour savoir si une fille m’a « fait un bisou sur la bouche ». --'

Pour en finir avec cette histoire, ma rentrée de seconde à Shutoku n’est pas passée inaperçue. Malheureusement, j’ai revu quelques anciens visages, certains m’ont reconnu, d’autres non. J’ai fait comme si je ne connaissais personne. J’ai tenté de me cacher et de nier me souvenir d'eux, finalement, mon passé m’a rattrapé. J’ai eu le droit à des « Oh lalalalala c’est vraiment toi Shirazaki ! Où est passé le petit gros bigleux de primaire, hein ?! ». J'ai failli me battre.

Par la suite, j'ai eu toutes sortes d'invitations, de filles, de garçons, certaines assez malsaines - je vous passe les détails -. Les clubs n’ont pas arrêtés de me harceler en début d’année pour que je les rejoigne (enfin, ils font ça avec tous les nouveaux, je l'ai découvert cette année). Pour une raison obscure, j’ai choisi le club de volley. J’aime bien le volley, on n’a pas besoin de trop courir et il parait que je suis doué.
J'ai entendu parlé de l'équipe de basket, ça m'a interpellé. J'ai vu un match, j'ai été choqué un bon moment. Je me suis dit: "Ouah ! Ils sont vraiment balaises, à côté je suis vraiment...rien". Mais j'aurai bien envie de retenter un jour. Alors, en cachette, ça m'arrive de prendre un ballon et de jouer seul sur le terrain près de chez moi.

Bref... Pourquoi j’ai écrit toute cette me****...
Peut-être que je devrais brûler ces pages. Le truc c’est que si dans 10 ans je me sens nostalgique (ou que je suis toujours puceau), je pourrai au moins me consoler avec cette partie de ma vie… Ou pas.
Elle n’est pas non plus extra, là, par exemple, je vais devoir séparer mes enfants (mon frère et ma sœur, je les considère comme mes gosses, y a rien de choquant là dedans.), qui hurlent, pour la 50ème fois de la journée. Et il est seulement 15h…
Je vais les emmener au Square.

Hum... Je suppose qu’on dit « A plus » à la fin ? Ouais, je vais écrire ça...


A P-l-u-s

(Je dois signer, peut-être ? Non, vaut mieux pas, comme ça je pourrai toujours dire que c'est pas moi, si on me demande).




Test RP
C’était fait.  
Natsuki lâcha son stylo, ferma son cahier et le rangea dans son endroit top secret. Ce n’était réellement pas l’endroit le plus discret de la planète, mais puisqu’il était le seul à faire le ménage, ses parents n’iraient jamais fouiller sous ses meubles ou dans ses tiroirs.
La porte de la chambre s’ouvrit d’un coup, alors qu’il venait de se redresser de… quelque part (je ne dévoilerai rien !) et se cogna la tête contre… Quelque chose de très, très dur.


- Put…. !

Il ravala vite son juron.
Les bruits de pas et les gémissements plaintifs lui apprirent l’identité de ses visiteurs inattendus. Ca n’aurait pas pu être quelqu’un d’autre de toute façon, ils n’étaient que trois dans la maison. Le reste de la famille était partie chez leurs grands-parents. Natsu était d’ailleurs un peu jaloux de ne pas pouvoir y être, mais à cause de l’entraînement du club et de leur match le lendemain, il était forcé de rester. En plus de ça, il devait garder son frère et sa sœur tout le week-end, car ils étaient punis. La raison ne lui avait pas été mentionnée et les deux terreurs n’avaient pas ouvert la bouche le jour-même.  La veille, Natsu avait donc dû les traîner avec lui à son match. Ils avaient perdus, mais c’était un match amical et pour fêter leur défaite, le capitaine invita ceux qui le voulaient manger une glace. Les petits s’étaient bien amusés et avaient réussi à remonter le moral de toute la team.


« Nii-san ! »
« Onii-chan ! »


Natsu les fit se taire en levant le poing d’un air menaçant.

- Hé, vous deux ! Combien de fois je vous ai dit de ne pas entrer dans MA CHAMBRE sans permission ?

Les deux enfants échangèrent un regard, puis le plus âgé prit la parole.

« Mais, Nii-san, on voulait te montrer nos dessins ! Sayu a dit que le mien ressemble à une crotte de lapin ! Regarde ! »

Avant même qu’il ait pu réagir, Natsu se retrouvait face à une feuille blanche sur laquelle était dessiné au feutre rouge une forme circulaire, qu’on aurait confondre avec une carapace de tortue ou une coquille d’escargot au choix. Le grand frère se souvint d’une TV émission sur « l’art au fil du temps »  qu’il avait vue, quelques jours auparavant. Il ne savait plus exactement de quel auteur ils parlaient, mais ils n’avaient pas lésiné sur les critiques. C’est vrai que les peintures de l’artiste en question étaient assez étranges et Natsu n’avait pas non plus trouvé ça très esthétique. Chacun ses goûts, peut-être que c’était lui qui ne savait pas apprécier l’art, il n’y connaissait pas grand-chose après tout.
Il examina attentivement le « dessin » sous tous ces angles, en parlant à voix basse.


- En effet… La ressemblance est frap…

La voix vexée de Kazu l’interrompit et il se mit à agiter le papier avec vigueur.

« Tu te trompes ! C’est le visage de Nii-san ! Regarde encore ! »

Choqué de cette révélation, l’aîné fut pris d’un énorme fou rire incontrôlable. Kazu fit la moue, puis leur tourna le dos en essayant de s’empêcher de pleurer. Natsuki comprit qu’il était sérieux et regretta presque de lui avoir ris au nez.
Il s’approcha de l’enfant, lui retira habillement le dessin des mains en ébouriffant sa tignasse brune.


-Tu sais quoi ? Il est super ton dessin ! Mais la prochaine fois, pense à faire des yeux, un nez et une bouche plus… Visibles. T’as raison, ça me ressemble beaucoup ! Merci, Kazu.

Le gamin se mit à sourire de toutes ces dents, ce fut ensuite au tour de Sayu de montrer son chef d’œuvre. La différence était frappante. Elle avait dessiné et colorié aux crayons de couleur une maison, avec son jardin, des arbres et un ciel, plus une petite fille en robe de mariée et un grand homme en costume noir très élégant. Le crayon avait débordé à certains endroits, mais Natsuki trouvait étonnant qu’on puisse dessiner aussi bien à seulement huit ans. A son âge, il n’aurait jamais été capable d’une telle prouesse, pas même maintenant.

-Oh mais, dis-moi, qui sont les deux personnes qui se tiennent par la main ? Demanda-t-il naïvement, en dévisageant les deux personnages, dessinés de façon très caricaturale.
« C’est Onii-chan et Sayu ! »

Ça aurait pu le faire rire. Il aurait même pu trouver ça mignon, s’il était sûr et certain qu’elle finirait par abandonner cette idée.  
Pour ne pas rendre son frère jaloux, Natsu félicita sa petite sœur de la même manière et rangea les dessins dans le tiroir ou se trouvaient déjà une bonne pile de dessins, découpages, collages et autres choses du même style
.

-Si on allait au parc ? Proposa Natsu.
« Ok ! » Répondirent les deux autres.

Ils disparurent derrière la porte en moins de deux secondes, Natsu les entendit descendre bruyamment les escaliers et se pousser dans le couloir pour savoir lequel des deux prendrait son manteau en premier.
L’adolescent sourit tout seul quelques secondes, s’estimant heureux d’avoir une famille et des frères et sœurs aussi joyeux. Cela lui redonnait le sourire quand il avait des coups de blues. Enfin, il décida de se changer. Son armoire était remplie de fringues que sa grande-sœur lui avait choisies, en faisant bien attention à ce que ça soit « tendance » pour son « génial petit-frère adoré ». Natsu n’était pas spécialement intéressé par la mode, mais il faisait quand même attention à la manière dont il se fringuait, ce qui changeait de quand il avait trente kilos en trop et qu’il ne pouvait plus rentrer dans un jean, ni mettre un t-shirt sans que l’on voit toute sa graisse dépasser. Ce temps lui paraissait à la fois lointain et proche. Les seuls survêtements qu’il portait, à présent,  étaient ceux de l’école ou du club.

Il mit rapidement un jean et un sweet à capuche puis se regarda dans le miroir. Son reflet lui montrait un grand jeune homme, assez mince, élancé, avec des épaules larges et des hanches fines. L’ossature de ses membres était beaucoup plus visible qu’avant.  Parfois, il s’observait ainsi de longues minutes, tout en se repassant certaines scènes du passé. Même après un an, c’était difficile pour lui de ne pas s’y attarder. Lorsqu’il avait intégré le centre, il ne pensait jamais arriver à un tel résultat, il ne pensait d’ailleurs pas ressortir vivant de cet endroit.
Passant une main dans ses cheveux noirs, coupés courts, Natsuki observait la profondeur de ses petits yeux noirs, sous ses lunettes rectangulaires à la monture écarlate. Il les retira et les posa dans leur étui, sur sa table de nuit.
A ce moment-là, Sayu et Kazu firent à nouveau irruption dans la pièce.


- Qu’est-ce que je vous ai dit ?

L’air sévère du grand-frère ne les fit pas broncher.
Ils étaient couverts des pieds aux genoux, on voyait à peine leur visage entre la grosse écharpe qui montait jusqu’à leur nez et le bonnet qui descendait jusqu’en dessous du front. Natsu contint son rire, mais ne put s’empêcher de pincer le nez de Kazu.

« Onii-chan ! Quelqu’un attend dehors ! » Dit Sayu.
« Mais puisque je te dis que c’est Nao-nii ! » Répliqua à son tour Kazu.
« Non c’est pas vrai ! Nao-nii sonne toujours à la porte ! »
«  Il a peut-être oublié ou elle est ta sonnette ! Idiiiiiiiote ! »

- Arrêtez ça, tous les deux, coupa sèchement Natsu, je vais aller voir. Vous m’attendez à l’intérieur.
«  Roohh ! C’est injuste ! Moi aussi je veux voir Nao-nii ! ». Gémit Kazu.

Sayu prit le même air sévère que Natsu et le gronda :

« Onii-chan a dit qu’on attend, alors on attend ! Sinon tu seras privé de désert ! »
« Nooon, pas mon désert ! »


Natsuki profita du sermon pour quitter discrètement la chambre et descendre les escaliers, suivit de loin par les deux enfants.
Il  enfila ses baskets une fois dans l’entrée et fit signe à Sayu et Kazu de ne pas bouger. Ils acquiescèrent d’un signe de la tête, bien que leur petit air espiègle ne laisse rien présager de bon.

La neige avait envahie les rues, seuls les trottoirs étaient encore blancs. La route avait été dessalée, mais peu de voitures y circulaient. La famille Shirazaki habitait un coin très calme de Tokyo, bordé de belles maisons traditionnelles et de quelques commerces et restaurants fréquentés presque exclusivement la nuit.

Un jeune homme de grande taille qui portait un court manteau kaki, assorti à tout son look sportif attendait à quelques mètres de l’entrée. Ses cheveux châtains lui arrivaient en bas de la nuque, ils étaient très lisses, parfaitement entretenus. Ses yeux d’un vert très clair témoignaient de ses origines étrangères. Il dépassait Natsu de quelques centimètres et appartenait au même club de volley. Il n’avait pas pu assister au match de la veille. Son remplaçant avait assuré, mais son absence c’était quand même fait sentir.

Comme l’avait dit Kazu, il s’agissait bien de Naoki. On pouvait le considérer comme l’ami d’enfance de Natsu. Ils avaient été dans la même classe depuis le jardin d’enfant, jusqu’à ce qu’au départ du japonais.

Nao était le seul qui était venu lui dire au revoir. Ils n’étaient pas particulièrement proches et il avait fait partie des personnes que Natsu tentait d’éviter à tout prix à son retour à Tokyo. Chaque fois qu’il le voyait, ses souvenirs refaisaient surface et il ne pouvait s’empêcher d’avoir un petit pincement au cœur. Au fond de lui, il avait toujours admiré son camarade. Ce dernier n’avait jamais eu de problèmes pour se lier aux autres, il avait beaucoup d’amis, était très à l’aise avec tout le monde et sa gentillesse était particulièrement énervante.


« Yo ! Je rentrais et comme j’habite en face, me disais que je passerai te saluer ».

Très énervante, même.
Tellement que ça le faisait frissonner.


- Je sais très bien que tu habites en face… Murmura Natsu, pour lui-même.
« Tu as dit quelque chose ? »
- Non.

Il avait l’habitude que son « ami » s’incruste chez lui, une des raisons pour lesquelles il ne l’invitait que si ses parents le lui demandaient. Nao faisait pratiquement partie de la famille, « pratiquement » car Natsu avait encore du mal à comprendre (et à accepter) qu’il veuille toujours être son ami, après la façon dont il l’avait traité lors de leurs « retrouvailles ».

- Désolé, mais j’ai pas trop le temps, je dois m’occuper de mon frère et ma sœur, mes parents m’ont laissés seul avec pour le week-end…
« Ah ! Je vois. Je ne voulais pas déranger, je pensais qu’on pourrait discuter un peu et que tu me raconterais le match d’hier.  Mais je repasserai à un autre moment. Embrasse les petits de ma part ».  

Comme à son habitude, Nao gardait son sourire franc. L’attitude aigrie de Natsu ne semblait jamais l’affecter. Peut-être parce qu’il savait que ce n’était pas volontaire, que le garçon ne cherchait qu’à se protéger. Il lui fit un petit signe de la main pour dire « au revoir » et fit volte-face pour rentrer chez lui.
La voix de Natsu l’arrêta avant qu’il ne traverse la route.


- Attends une minute ! Tu aurais pu m’envoyer un mail ou m’appeler au lieu de passer à l’improviste !
« C’est ce que je comptais faire, mais je n’ai plus de batterie. »

Il montra l’écran noir de son portable. Natsu soupira.

- Bon… T… Tu veux entrer une minute ?

Les yeux de Nao s’écarquillèrent comme des soucoupes, comme s’il venait de voir un fantôme. Natsu détourna son regard, les joues légèrement roses.  

- N… Ne me fixe pas comme ça !
« Ah ! ‘Scuse ! C’est que d’habitude tu ne me laisse pas entrer quand tes parents ne sont pas là. Tu  avais peut-être peur que je te viole ?»

La dernière phrase avait été prononcée sur le ton de la plaisanterie, mais ça n’avait pas du tout amusé Natsu, au contraire. Il avait plutôt l’impression qu’on le prenait pour un imbécile, quand on prétendait ouvertement qu’il pourrait avoir des tendances homosexuelles.

- Pas vraiment… Ne crois pas que j’ai peur de toi !
« Ce n’est pas du tout ce que je crois ».
- Et puis, arrête de sourire comme ça bêtement, tu m’énerves ! Je vais finir par changer d’avis !
« Oui, oui. »

Son faux air sérieux n’était pas convainquant pour un sous, mais Natsu décida qu’il valait mieux abandonner la partie et le précéda jusqu’à la porte de la maison.





Derrière l'écran


  • Pseudo : Comme vous voulez
  • Âge : 25 ans
  • Comment avez-vous découvert le forum ? Par mon ami Google
  • Votre avis sur le forum ? J'hésitais à m'inscrire au départ, car ça semblait assez strict, qui ne tente rien n'a rien. J'ai été très emballée par le thème & les 25 lignes pour les rps m'ont convaincue.
  • Votre présence sur le forum ? Quotidienne.
  • Code de validation :


(c) fiche codée par Tsu-chan



Dernière édition par Shirazaki Natsuki le 29.12.13 21:43, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas

Seirin
Kumako Tsubaki

Kumako Tsubaki


Informations Féminin Messages : 1381
Date d'inscription : 18/10/2013
Localisation : En ville avec Takao
Agenda RPG
Agenda RPG

Couleur RPG
: ff9999

RP terminés
: 23

RP en cours
: 2


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock29.12.13 7:53

Hello et bienvenue Shirazaki-san o/

Un nouvel élève à Shutoku, je connais quelqu'un qui sera content ;) en plus Kageyama de Haikyuu comme avatar O:

je m'occupe de ta fiche aujourd'hui, je suis actuellement sur tablete et c'est galère xD si tu as des questios n'hésites pas o/
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité


Informations
Agenda RPG


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock29.12.13 14:52

Bonjour, merci pour l'accueil :).

Ah ? J'avais mis Tôo avant de voir l'annonce sur les écoles à prendre en priorité :s et pour l'avatar, celui que j'avais a la base était déjà pris, j'ai mis 2 jours a en trouver un qui convenait.

Ok prends ton temps.
Revenir en haut Aller en bas

Seirin
Kumako Tsubaki

Kumako Tsubaki


Informations Féminin Messages : 1381
Date d'inscription : 18/10/2013
Localisation : En ville avec Takao
Agenda RPG
Agenda RPG

Couleur RPG
: ff9999

RP terminés
: 23

RP en cours
: 2


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock29.12.13 21:10

Voilà voilà, je ne te fais plus attendre o:

J'ai pas vu de fautes, sauf peut-être une dans le caractère, c'est une faute d'homographis, je suis sûre que tu la verras en relisant attentivement.

Sinon, je suis pas contre ta validation o/ Tu écris bien, c'est clair, propre et l'histoire de ton perso est original, on en voit pas beaucoup des comme ça, bien que ça arrive dans le monde irl alors pourquoi pas ici ? ;)

voili voilou o/ C'est tatsuya qui viendra te valider plus tard :3
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité


Informations
Agenda RPG


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock29.12.13 21:49

Ah oui, je vais corriger pour la faute, je viens de voir ^^"
Merci pour les compliments (je profite c'est rare xD).
Ok, je vais attendre.
Revenir en haut Aller en bas

Himuro
Himuro Tatsuya

Himuro Tatsuya


Informations Féminin Messages : 2548
Date d'inscription : 19/10/2013
Localisation : Akita | Lycée Yôsen
Agenda RPG
Agenda RPG

Couleur RPG
: darkorchid | #a16968

RP terminés
: 11

RP en cours
: 2


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock29.12.13 22:33


C'est avec joie que je t'annonce que tu es officiellement validé Natsuki-kun !

Comme l'a dit Tsubaki, une fiche très agréable à lire du au peu de fautes et à la fluidité de ton écriture. Ton histoire est originale, plus "réelle" je trouve, je l'ai bien aimé (: C'est donc avec joie que je vais te mettre ta couleur et ton rang ! ;)

♦ Si ce n'est pas déjà fait, file recenser ton avatar & te recenser toi dans ton groupe ~
♦ Tu peux dès à présent faire une demande de RP si tu n'as pas de RP prévu, bien sûr ~ !
♦ Etablis-toi une fiche de liens ! Ton personnage a une vie sociale, lui aussi ~
♦ Passe jeter un coup d'oeil de temps en temps à la rubrique "Matchs" pour voir s'il ne te reste pas une place de libre pour participer au match du moment !
♦ Quand tu as bouclé un RP, il est commode de regrouper les RPs finis dans une même fiche, non ?
♦ Et si tu as gagné suffisamment de pockys, passe au combini t'acheter un petit lot ~

Tous les liens sont en bas de cette petite fiche de validation !

Tous les membres du staff te souhaitent la bienvenue et espèrent que tu passeras un bon moment sur notre forum !
Recenser ton avatar. Recenser dans ton groupe Demande de RPG Fiche de Lien Match Combini
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé


Informations
Agenda RPG


Shirazaki Natsuki [completed] Vide
MessageSujet: Re: Shirazaki Natsuki [completed]   Shirazaki Natsuki [completed] 571010clock

Revenir en haut Aller en bas
 

Shirazaki Natsuki [completed]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Shirazaki Natsuki - RPs
» Shirazaki Natsuki - Liens
» En apesanteur~ [featuring Bakao ♥] [Completed]
» I hate people | PV Natsuki | Terminé

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Kuroko's Basket, le forum RPG ::  :: Autres-